mardi 27 octobre 2009

EPAD

j'ai rarement vu autant de mauvaise foi dans la vie publique française. Ni autant de cynisme. Jusqu'a un ministre déclarant que si le président "élu" n'était pas compétent dans la fonction "on l'aiderait"...
J'imagine un candidat à la présidence de la république faisant campagne avec de tels arguments.
Jusqu'au site slate.fr déclarant que l'ex candidat à la présidence de l'EPAD "aurait pu faire appel à la HALDE".
La HALDE n'aurait pu condamner le coupable, car celui qui au final a interdit au candidat de se présenter, donc a exercé une discrimination, est protégé pénalement par sa fonction.